Un mal-être grandissant, aux causes multiples
On a beaucoup parlé de la détresse psychique des jeunes durant la crise du Covid-19. Puis le focus médiatique s’est déplacé, laissant penser que la situation s’était améliorée. Non seulement ce n’est pas le cas, mais la tendance à la dépression dans cette catégorie de la population n’a pas attendu la pandémie pour s’aggraver. En effet, la part des 18-34 ans concernés a doublé depuis 2005, en France. (voir article : Santé mentale dégradée des jeunes : chronique d’une crise annoncée) Une étude de l’UNICEF confirme l’ampleur du phénomène : un tiers des 14-19 ans serait touché par des troubles de l’anxiété ou par la dépression, en Suisse et au Lichtenstein (voir article : la santé mentale des jeunes inquiète (lemanbleu.ch)). Une part croissante d’entre eux exprime même des pensées suicidaires. Les raisons invoquées par les spécialistes, en plus du Covid, sont multiples : conflits internationaux, dérives d’internet et des réseaux sociaux ou encore cadre familial complexe. En résumé, les perspectives d’avenir semblent bien sombres aux yeux de la génération montante de pays parmi les plus riches du monde…
La prospérité démunie face à la détresse
Un tel paradoxe montre bien que la croissance économique, le progrès technologique et le divertissement omniprésents dans notre société se sont révélés bien incapables d’apaiser les peurs et de combler les besoins de l’âme. Alors, où trouver une vraie réponse à la détresse intérieure ? On peut évidemment saluer le travail précieux des nombreuses organisations venant en aide aux personnes découragées, qui empêchent parfois très directement un passage à l’acte. Mais un secours plus complet, profond et durable est disponible pour chacun : le récit qui suit l’atteste.
Une lueur d’espoir dans les pires situations
Il y a bien longtemps, un gardien de prison grec s’est trouvé sur le point de s’ôter la vie. Il faut dire que durant une nuit de garde, son pire cauchemar était devenu réalité : suite à un tremblement de terre, les cellules s’étaient ouvertes, laissant tout loisir aux prisonniers de s’enfuir. Persuadé que c’était ce qui allait se produire et sachant qu’il serait certainement puni de mort, le pauvre geôlier avait déjà tiré son épée. Avant qu’il ne commette l’irréparable, l’un des détenus lui dit : « Ne te fais pas de mal, car nous sommes tous ici ». L’homme encore sous le choc et sentant sa vie ne tenir qu’à un fil s’écria : « que faut-il que je fasse pour être sauvé ? ». C’est alors que le prisonnier, qui n’était autre que l’apôtre Paul, lui donna une réponse surprenante : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé ». Dans la suite du récit biblique, on voit le geôlier croire, puis se réjouir avec sa famille.
Bien des siècles ont passé depuis que cette histoire a eu lieu. Et pourtant, le meilleur appui dans les situations les plus désespérées n’a pas changé : c’est Jésus-Christ. Lui qui a subi la moquerie, les coups de fouet et les terribles douleurs de la crucifixion, il est capable de comprendre toutes tes souffrances. Si tu lui exprimes ta détresse sincèrement et en croyant qu’il t’écoute, il te répondra !
« Cet affligé a crié ; et l’Eternel l’a entendu, et l’a sauvé de toutes ses détresses. » Psaume 34, v.6
Note : si tu te trouves actuellement dans une telle situation, ne reste pas seul, appelle à l’aide.