Cette soif, on l’a tous en nous. Soif de liberté, désir de ne pas avoir de comptes à rendre à qui que ce soit. Certains se battent pour cette liberté avec des armes, d’autres manifestent dans la rue pour l’obtenir ou la préserver. Personne ne veut être asservi comme un esclave, à un maître ou à un gouvernement. Ni même se soumettre à Dieu. On rejette ainsi toute forme d’autorité et on voit une quelconque puissance divine d’un mauvais œil, craignant qu’elle ne nuise à notre liberté d’action et de pensée.
Est-on vraiment libre ?
Même si on vit dans un pays privilégié qui nous offre un grand degré de liberté, et qu’on mène en apparence notre vie comme bon nous semble, la Bible dit pourtant qu’on est tous esclaves. Mais de qui, de quoi ? Du péché, c’est-à dire de toute forme de mal. Jésus a dit « Quiconque pratique le péché est esclave du péché » (Jean 8:34).
Ailleurs, la Bible précise que loin de Dieu on est « insensés, désobéissants, égarés, asservis à diverses convoitises et voluptés, vivant dans la méchanceté et la jalousie, détestables, nous haïssant l’un l’autre » (Tite 3:3). Celui à qui on obéit en nous laissant guider par nos envies et nos pulsions, le maître du mal, c’est le diable. Voilà donc le maître qui règne, souvent à leur insu, sur la vie de nombreuses personnes, les menant droit à la mort (Romains 6:23). Est-ce donc vraiment cela, la liberté ?
La clé pour une vraie liberté
Heureusement, il existe une solution pour être délivrés ! Si Jésus est venu sur la terre pour mourir sur une croix, c’est pour prendre tous nos péchés (passés et futurs) sur lui (1 Pierre 2:24) et nous libérer ainsi de l’emprise du diable. Une fois que nous lui appartenons, Jésus ne nous considère plus comme des esclaves, mais comme ses propres amis (Jean 15:15), car il nous a rachetés.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, accepter Dieu dans notre vie ne mène donc pas à une restriction de notre liberté, mais à une réelle délivrance.
Si toi aussi, tu es épris de liberté, fais le bon choix !